1ere heure : coastin
2e heure: don't really matter
3e heure ( cours de catalane ) dance again
bonne revision !!
1ere heure : coastin
2e heure: don't really matter
3e heure ( cours de catalane ) dance again
bonne revision !!
oyé ! oyé ! .....cours de catalane demain à 21h , n'oubliez pas !
1ere heure : river bank
2e heure: revisions
le bear butte
tous les quatre ans se réunissent à Bear Butte, dans le Sud Dakota, des Cheyennes hommes et femmes qui, durant quatre jours vont jeûner et prier le grand esprit. Le rite de Bear Butte a des origines très lointaines : il y a bien longtemps, alors que les Cheyennes n’étaient pas encore parqués dans une réserve, ils vivaient dans la région de Bear Butte.
Un jour, alors que leur peuple mourrait de faim, deux guerriers entreprirent de faire une ultime expédition pour trouver de la nourriture. Ils montèrent sur la Bear Butte et rencontrèrent deux personnes sacrées : Grand Mère et Grand Père. Ces derniers leur offrirent de la viande et de l’eau et les invitèrent à rejoindre leur peuple pour les nourrir. Puis, ils leur expliquèrent que, tous les quatre ans, des hommes et des femmes devraient jeûner pendant quatre jours et quatre nuits (le chiffre quatre est sacré chez les Cheyennes) pour obtenir le soutien et l’aide du Grand Esprit et la prospérité du peuple Cheyenne
cette cérémonie est un des évènements le plus importants dans la vie des Indiens et fait l’objet de la première page du journal Lakota Times. De plus, les Indiens sont si attachés au lieu de Bear Butte qu’ils réclament régulièrement au sénateur du Sud Dakota la restitution de ce site aux peuples Sioux et Cheyenne. Les pow-wowLes pow-wow sont de gigantesques concours de danses inter-tribaux qui réunissent chaque été jusqu’à 600 danseurs venus de toutes les réserves des Etats-Unis. Les pow-wow sont organisés dans de gigantesques « arènes » appelées « bowery », constituées d’une grande piste de danse et d’un hémicycle de gradins de bois. Les pow-wow commencent par une « grande entrée » où tous les danseurs envahissent en cadence le « bowery » sous le drapeau américain et le drapeau de la réserve qui accueille cette manifestation. Les danseurs sont accompagnés par des tambours dont le « beat » symbolise le pouls du Grand Esprit, et de chants traditionnels. Les concours par catégorie suivent en fonction de trois catégories déterminées selon trois types de costumes différents :
Les femmes bénéficient d’une catégorie en plus appelée « jingle » et il existe également des danses par couple comme la « rabbit dance » par exemple. Tous rivalisent d’audace et de talent pour emporter le premier prix dans leur catégorie. Mais les pow-wow offrent aussi la possibilité à des étrangers ou à des Indiens qui n’ont pas de costumes de se rassembler sur la piste avec les danseurs pour exécuter une danse dite « sociale ». Elles sont très émouvantes car elles témoignent d’une solidarité exceptionnelle entre hommes et femmes de tout horizon. Le « give away » est une cérémonie qui fait partie des festivités. Une famille indienne rassemble dans le « bowette » des centaines de cadeaux allant du service à thé jusqu’à la couverture indienne en passant par les boites de céréales ou plats cuisinés de bison… puis les distribue à des amis, des proches ou des visiteurs pour le simple plaisir d’offrir et manifester leur estime pour l’autre et la solidarité qui doit être entre les individus. |
1ere heure
2e heure
La légende veut qu’un descendant du clan écossais McCluskey a débarqué au début du 19eme siècle dans le Montana et aurait échangé des couvertures de tartan aux amérindiens contre des peaux de buffle. A la même période, John Rich, fils d’un cardeur de laine anglais, quitte Liverpool pour s’installer en Pennsylvanie afin de fonder l’usine à laine Woolrich Woolen Mills. Les produits qui en sont issus à l’époque sont conçus afin que les pionniers, les bûcherons et les agriculteurs puissent lutter contre les conditions climatiques extrêmes. En 1850, sous sa marque éponyme Woolrich propose un modèle nommé Buffalo, une chemise à carreaux réguliers et imposants rouges et noirs. Les rumeurs disent que le nom de Buffallo viendrait du fait que Rich élevait des buffles en parallèle de ses activités dans la laine. Quoiqu’il en soit, la chemise à carreaux rouges et noirs appelée “red plaid shirt” aux Etats-Unis connait un succès immédiat et continu. Alors que l’on est en pleine conquête de l’Ouest durant la seconde moitié du 19ème siècle, il n’est pas rare de voir débouler sur leurs chevaux de vaillants cow-boys affublés de santiags et de la fameuse chemise buffalo.
Usine Woolrich Woolen Mills au 19ème siècle
revisions 1ére et 2 e heure
1ere heure : hore thing
révision country et catalane pour les autres heures.
merci à tous ceux qui sont venus partager la galette
Ingrédients pour la sweet potato pie
gateau trés prisé dans le sud des états unis...