Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 15:13

Les États-Unis sont célèbres pour

  • leurs barres de chocolat
  • leurs biscuits aux brisures de chocolat

Les Maîtres Chocolatiers

  • Baker - 1765
  • Hershey - 1862
  • Mars - 1923

Longtemps relégué comme fortifiant sur les tablettes des apothicaires, le chocolat reprend son éssort avec l'Europe et  Joan Baker en 1765 avec sa première chocolaterie établie au Massachusetts.

 

à signaler que les premiers chocolatiers en europe sont les juifs chassés d'espagne en 1492 et du portugal  vers 1536 qui s'etablirent à l'epoque à bayonne ....bayonne 1ere ville europeenne du chocolat encore de nos jours.

comme au mexique , lieu de decouverte du cacao , ils en firent des boissons chaudes avec de l'eau , de la vanille , de la cannelle et du piment.

 

Partager cet article
Repost0
6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 15:03

14 février, le jour de la Saint-Valentin, la journée de l'amour et de l'amitié aux États-Unis

 

Dans beaucoup d'écoles primaires, par exemple, les élèves confectionnent à l'intention de leurs parents des cartes de vœux sur du papier de couleur, qu'ils décorent de paillettes et de dessins aux feutres. Les enfants apportent aussi des bonbons et des mini-cartes de vœux à leurs camarades de classe

envoi de « candygrams » est une autre activité populaire, surtout parmi les lycéens et les étudiants : ils achètent des sucettes en forme de cœur, des boîtes de chocolat ou d'autres confiseries qu'ils font livrer discrètement à leurs ami(e)s le jour de la Saint-Valentin, dans l'établissement scolaire même. Ces « bonbons-télégrammes », en quelque sorte, peuvent s'accompagner d'un billet doux ou rester anonymes. Les recettes tirées de la distribution de ces sucreries sont généralement affectées au financement de diverses activités, par exemple à l'achat d'un cadeau pour une classe ou à l'organisation d'une soirée dansante au printemps.
Leurs aînés marquent l'occasion par des moyens plus traditionnels. L'envoi par la poste de cartes de vœux à ses amis et à des êtres chers est la coutume la plus répandue. Après Noël, c'est à la Saint-Valentin que les Américains font travailler les facteurs le plus.
Comme tant d'autres coutumes américaines, les traditions de la Saint-Valentin remontent à des temps reculés et à d'autres cultures. Cette fête romantique trouve son origine dans le christianisme

Selon une légende, un empereur romain aurait interdit aux jeunes gens de se marier, estimant que les célibataires faisaient de meilleurs soldats. Mais Saint-Valentin aurait fait fi de ce décret et continué d'unir les couples par le mariage. Informé de cet acte de défi à son autorité, l'empereur aurait condamné Saint-Valentin à mort.
Partager cet article
Repost0
23 décembre 2012 7 23 /12 /décembre /2012 21:14
Les cartes de voeux que l'on échange à l'occasion de Noël ou du Nouvel An sont originaires de l'Angleterre. Des imprimés que les marchands envoyaient à leur clientèle ont cédé leur place aux traditionnelles cartes de souhaits.
L'Europe, plus précisément l'Allemagne, participa également à son évolution en 1796, grâce à un tout nouveau procédé d'imprimerie mis au point par Aloys Senefelder. La méthode de lithographie, par reproduction de plusieurs images, en fit sa popularité.
C'est en 1843 que la première carte de souhaits fut postée, 3 ans après l'apparition du premier timbre postal, en Angleterre. Elle fut réalisée par John Calcott Horsley, pour le compte de sir Henry Cole. Cette dernière illustrait une famille célébrant Noël en levant un verre ! Ce qui offusqua les défenseurs de la tempérance !
Louis Prang, immigrant allemand aux Etats-Unis, produisit les premières cartes de voeux de couleur, surtout utilisées pour le Jour de l'An.
Au Canada, ce phénomène a débuté vers les années 1870, et la majorité de ces cartes étaient originaires de la Grande-Bretagne et des Etats-Unis, représentant des scènes hivernales, d'activités et de sports typiques au pays !
une carte du 19e siècle
Partager cet article
Repost0
3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 23:21

Précisons aussi que la France est le seul pays où le 8 mai est férié et chômé (depuis 1981.). En effet, si ce jour est férié aux Etats-Unis, en Russie et en Angleterre, il n’est pas chômé.

 

 

 





Faux ! En fait, en mai 1945, ce n'est pas une, mais deux redditions qui furent signées. A noter par ailleurs que nous utilisons à tort aujourd'hui le terme d'armistice, alors qu'il s'agissait bel et bien d'une capitulation de l'armée allemande

En février 1945, le général Eisenhower, commandant en chef des forces alliées en Europe, avait installé son quartier général dans le collège moderne et technique de Reims. C’est là que fut signée une première capitulation, le 7 mai 1945 à 2h40 du matin, dans la salle des opérations (la war room.). Le général Jodl (un émissaire allemand envoyé par l’amiral Donitz.) signa alors l’acte de reddition sans conditions de l’armée allemande. Étaient aussi présents ce jour là le général américain Bedel Smith (représentant le commandement suprême des forces expéditionnaires alliées.) et le général Susloparov (représentant le haut commandement soviétique général.). Le général français Sevez signa l’acte de reddition à titre de témoin.

 

 

Partager cet article
Repost0
29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 18:05

On nommait vaqueros le premiers cow-boy. De l'espagnol, ce mot veut dire bouvier ou vacher. Déjà là, nous désenchantons sur la dénomination même de ce personnage légendaire. Par la suite, on adopta le mot cow-boy, inventé il y a plus de mille ans par les irlandais, qui l'apportèrent avec eux lors de leur arrivée en Amérique du Nord. Mais au début, étaient appelés cow-boys les voleurs de bétail. Ce n'est que plus tard, lors du développement exponentiel des ranches et de l'élevage en semi-liberté du bétail que l'on nommera cow-boys les hommes chargés de rassembler et de conduire les troupeaux vers les grands centres de tri (les abattoirs et les grands marchés tels que Cincinnati ou Chicago).

Il ne faut pas se leurrer, les cow-boys n'étaient pas de fiers cavaliers, bravant les tempêtes et les indiens en prenant plaisir à provoquer des duels dans chacune des villes qu’ils traversaient. Non, ils étaient des hommes comme tous les autres, qui cherchaient un emploi et l'exécutaient du mieux qu'ils pouvaient. Ils conduisaient des troupeaux pouvant aller jusqu’à 2500 têtes, été comme hiver. Un cow-boy nommé W.A. Penil, dans le récit qu'il a laissé de ces transhumances, nous raconte que dans un seul voyage, il a essuyé une tempête qui tua le tiers du troupeau, les indiens lui volèrent 58 chevaux sur 63, il rencontra un blizzard qui laissa 15 cm de neige, ne trouva que des sources d'eau non potables, traversa le désert de sel de l'Utah, où pour survivre, il but le sang des chevaux, et passa au travers d'une muraille de montagne pour enfin parvenir à son but ultime, la Californie.

Cette vie, ou les périls étaient nombreux, n'avait pas à être enviée. Peu de gens désiraient à cette époque prendre la place d'un cow-boy. Les dangers étant trop grands et le travail trop ardu. C'est en partie pourquoi les cow-boys des années 1860 étaient en majorité texans ou noirs c’est-à-dire des individus provenant de la couche très inférieure de la société. À l'apogée de l'empire du bétail, on estimait leur nombre à 35 000, les noirs représentant un cow-boy sur cinq.

Les propriétaires de ranches, grands et petits, pratiquaient l'élevage extensif. Les cow-boys gardaient les bêtes, les rassemblaient, les marquaient au fer rouge et les conduisaient par de mauvaises pistes d'un pâturage à l'autre, parfois sur des centaines de kilomètres. Il leur arrivait parfois de poser une selle de quarante dollars sur le dos d'un cheval en valant dix, la plupart de leurs chevaux étant des mustangs capturés à l'état sauvage et sommairement dressés. Le mythe de la monture fidèle à son cavalier se révèle être ici, un simple rapport de force établi en quelques heures, où la monture se soumettait ou était déclarée indomptable et hors-la-loi. Le cow-boy disposait donc de deux à huit de ces chevaux, tous à peu près sauvages, mais sachant très bien ce qu'on attendait d'eux. Les hommes plus chanceux disposant de deux montures pour le matin, deux pour le jour et deux pour le soir, les deux dernières étant pour aller au village, à l'église ou pour remplacer un cheval blessé.

Le cow-boy moyen était souvent, au départ, un cavalier médiocre, l'expérience ne venant qu'après de longues années à manger la poussière à l'arrière du troupeau. La selle western avait cela de pratique, elle permettait à un mauvais cavalier d’exécuter son travail au même titre que celui plus habile et expérimenté. Ainsi, le cow-boy n'avait pas besoin d'apprendre ce volet de son métier, son équipement lui permettant d'échapper à l'école. Il se sentait plus en sécurité dans une selle profonde et il était pratiquement impossible de tomber d'une selle de cow-boy. Le cavalier peu sûr de lui aimait se raccrocher à quelque chose en cas de problème, c'était un des rôles du pommeau de la selle western. Le cow-boy galopait rarement vite, sauf pour son plaisir, pour rabattre des bœufs ou encercler un troupeau dispersé. Sur les longues distances, il marchait ou trottait.

Au ranch, un fois par année, au printemps, venait le temps du round-up. Les journées dépassaient douze heures à travailler dans la poussière, le sang, la fumée et le beuglement des veaux. C'est une étape impérative, mais combien difficile au cow-boy qui doit castrer, vacciner et marquer au fer les veaux de l'année. Pour un homme qui vit paisiblement tous les jours de son existence avec ses bêtes, le round-up lui est cruel, car c'est un étape douloureuse et violente pour les animaux qui subissent toutes ces épreuves sans être anesthésiés. Le cow-boy est humain et souvent, l'odeur et l'atmosphère viennent à bout de lui. Ensuite vient l'été et avec elle le cutting, où il faut sevrer les veaux et couper leur cornes. Puis l’automne, puis l’hiver, continuel recommencement. Loin du cow-boy la vie trépidante, pleine de surprises et d'aventures. Les seules anecdotes qu'il aura à conter seront celles d'une journée comme les autres.

Partager cet article
Repost0
24 février 2012 5 24 /02 /février /2012 11:57

Les Américains se font très rarement la bise. Quand on est proche et qu'on ne s'est pas vu depuis un moment, c'est l'accolade (le hug) qui prévaut. Il s'agit de s'enlacer en se tapant dans le dos. Le meilleur moyen de saluer quelqu'un est quand même de lui serrer la main.

 En arrivant dans un restaurant, on ne s'installe pas à n'importe quelle table, sauf si l'écriteau « Please seat yourself » vous invite à le faire. On attend donc d'être placé.

Le patriotisme : le drapeau et l'hymne national sont les liens fédérateurs essentiels des différents peuples qui constituent le peuple américain. Afficher (souvent avec fierté) son appartenance à la nation est un geste évident pour un grand nombre d'Américains. Les églises carillonnent l'hymne national

 

Il ne sert à rien de hurler dès que quelque chose ne se déroule pas comme on le voudrait. Vous pouvez être accusé de manque de respect vis-à-vis, voire d'agression. Tout se plaide et se négocie. Si vous êtes dans votre bon droit, vous serez immédiatement remboursé. Ne vous avisez pas de hausser le ton avec un policier : vous finiriez illico au poste.

 

Le code de la route est davantage respecté que chez nous. L'automobile est majoritairement considérée comme un moyen de locomotion, pas comme un engin de course. Lorsque deux files se regroupent sur une seule, chacun passe à tour de rôle.
Si quelqu'un est devant un passage piéton, les voitures s'arrêtent automatiquement pour le laisser passer

Partager cet article
Repost0
2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 11:06

Le mot Chandeleur évoque les chandelles qu’on allumait symboliquement au Moyen Age ce jour-là.

Pourquoi des chandelles ? Parce que, lorsque Joseph et Marie arrivent au Temple, un vieillard nommé Siméon les arrête et demande à prendre Jésus dans ses bras.
Il s’exclame : "Mes yeux ont vu ton salut, que tu as préparé à la face de tous les peuples : lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d'Israël ton peuple".

Et c’est parce que Jésus est reconnu comme Lumière du monde par Siméon que cette fête de la présentation prend ensuite l’appellation populaire de fête de la Chandeleur.

Il y a quelques décennies encore, on préparait dans les églises des brassées de cierges que le prêtre bénissait et qu’il distribuait aux paroissiens pour organiser le 2 février des processions de lumières

 

 

Après ces processions, les familles revenaient à la maison porteuses de lumière. Et la soirée se poursuivait autour d’un grand plat de crêpes.

Pourquoi des crêpes ?
Tout simplement parce que cette gourmandise rappelle par sa forme ronde le disque solaire, donc la lumière !

Elle évoque aussi les offrandes traditionnelles qui se pratiquaient à l’époque de Jésus au moment de la présentation au Temple.

En général, on les mange en famille, mais le partage est plus communautaire au Québec: les jeunes gens "courent la Chandeleur", c’est-à-dire qu’ils vont de maison en maison quémander des œufs, du beurre, du sucre, de la farine et qu’ils réalisent ensuite des monceaux de crêpes que tout le village ou tout le quartier peut venir déguster

Partager cet article
Repost0
25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 11:27

 Vous avez remarqué que l'Indien fait tout en suivant un cercle, et cela parce que les forces du monde procèdent toujours par cercles et que chaque chose tend vers la rondeur. Autrefois, quand nous étions un peuple fort et heureux, nous tirions tout notre pouvoir de l’anneau sacré, qui nous garantissait la prospérité tant qu'il restait intact.

Pipe sacrée, sacs-médecine et rouleau de tabac

Pipe sacrée, sacs-médecine et rouleau de tabac

En son centre, l’arbre en floraison se nourrissait du cercle aux quatre quadrants. L'est apportait la paix et la lumière, le sud la chaleur, l'ouest la pluie et le nord, avec le froid et les grands vents, la force et l'endurance. Cette connaissance nous a été transmise du monde extérieur par notre religion. Les forces du monde agissent toujours en cercle. Le ciel est arrondi et j'ai entendu dire que la terre est ronde comme une boule, et les étoiles aussi. Le vent, quand il souffle avec force, tourbillonne. Les oiseaux construisent leurs nids en rond, car ils pratiquent une religion identique à la nôtre. Le soleil décrit un cercle au-dessus de nous. La lune fait de même et les deux astres sont ronds. Même les saisons forment un grand cercle en se succédant dans un ordre immuable. La vie humaine est aussi un cercle menant de l'enfance à l'enfance, et il en est ainsi de tout ce qui est animé. Nos tipis étaient ronds comme des nids d'oiseaux et disposés en cercle, anneau de la nation, le nid des nids où, selon la volonté du Grand Esprit, nous élevions nos enfants. »

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 21:33

C'est un mythe indissociable de la culture américaine ! Surnommée The Mother Road (la route mère) par John Steinbeck dans Les Raisins de la colère, Route de la Gloire par les Okies (les fermiers de l’Oklahoma), elle est aussi la Main Street of America (Grande rue de l’Amérique) dans le cœur des Américains.

Débutée en 1926, sa construction s’acheva en 1938. C’est la première voie qui permet de relier les rives du lac Michigan (à Chicago) au rivage du Pacifique (à Santa Monica, en Californie), après un périple de 2 448 miles à travers 8 États (Illinois, Missouri, Oklahoma, Texas, Nouveau-Mexique, Arizona et Californie, le Kansas étant sillonné sur 12 miles seulement).
Tout le long de la Route 66 s’est vite développée une nouvelle culture, celle des motels, des stations-service, des restos routiers et des enseignes de néons tapageurs.
Après les angoisses de la guerre, l'avènement des vacances en famille draina de nouveaux candidats vers la 66, attirés par les parcs nationaux à explorer et les promesses de beaux pique-niques ! À la fin des années 1950, le trafic devenu important. Les autorités lui préférèrent les nouvelles interstates à deux voies qui contournent les villes, plus rapides, plus sécurisantes.
À la fin des années 1960, le flot quotidien de véhicules s'évapora. Sur les bords de route, les boutiques fermèrent leurs portes, les guirlandes lumineuses s'éteignirent. En 1981, les autorités ont même émis le souhait de gommer son tracé sur les cartes routières.

Sous la pression d'associations de défense, la Road 66 retrouve aujourd'hui une seconde jeunesse. Le long du tracé, des musées se sont créés, des panneaux retraçant l'histoire de cette voie ont fleuri, des festivals très vivants rassemblent tous les adeptes lors de grand-messes. Mieux, une loi pour la protection de la Route 66 a été promulguée.

Partager cet article
Repost0
26 décembre 2011 1 26 /12 /décembre /2011 09:27

À Philadelphie (Pennsylvanie), la « parade des mimes » (Mummers Parade en anglais) se tient chaque 1er janvier. Les associations de la ville, appelées New Years Associations, entrent en compétition dans quatre catégories. Elles préparent pendant des mois des costumes et des scènes mobiles. Environ 15 000 personnes assistent au cortège chaque année. La première de ces parades fut organisée en 1901

 

 

 

, je peux vous dire que cette parade célébrant la nouvelle année trouve ses origines en Europe et qu'elle date (en ce qui concerne Philadelphie) du XVIIème siècle ; a l'époque, cette parade était bien sur beaucoup moins élaborée que celle d'aujourd'hui.

Et si elle était au départ de forte influence irlandaise, cette parade mêle de nos jours toutes les minorités, réparties dans les 44 clubs de Mummers de Philadelphie.

Le mot "mummer" signifie en fait "mime" et viendrait d'un mot de vieux français ("momeur").

 

Pendant toute l'annee environ 10 000 Mummers préparent leurs costumes, leurs chorégraphies, leurs numéros musicaux et leurs chars pour défiler dans les rues de Philadelphie le 1er janvier

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : The cheyenne's girls
  • : association de danse country du Coudray Montceaux
  • Contact

Recherche

Archives

Catégories

Liens